On peut être de plusieurs nationalités sans être dans le délit et si la loi camerounaise ne reconnaît pas la double nationalité pourquoi ne fat-elle rien pour la combattre, peut-on empêcher les individus d’utiliser les papiers délivrés par les autorités étrangères de façon discrétionnaire ?Les évènements survenus à la SOCAM qui gère les droits d’auteurs d’œuvres artistiques camerounaises et l’imbroglio qui oppose le Prince des Montagnes Ndedi Eyango à la Ministre de la Culture à travers les médias interposés.
La loi camerounaise est claire, pour être Président de cette structure il faut être Camerounais de même que pour être Ministre ou Président de la République il faut être Camerounais, là intervient toute la subtilité, on peut être à la fois Camerounais et d’une autre patrie sans être dans le délit en occuper ces fonctions.
Seule la Carte nationale d’identité fixe l’appartenance d’un individu à une nation et pour des raisons diverses le même individu peut se retrouver avoir des cartes d’identités de d’autres pays sans être dans le délit envers lesdits pays simplement le choix qui lui est donné n’est pas extensible infiniment pour raisons de convenances personnelles car ces papiers restent la propriété de l’autorité qui les délivre qui en ayant pris connaissance de l’allégeance de son ressortissants envers une autre pays peut au regard de ses propres textes de loi décider de façon discrétionnaire de retirer l’ancienne nationalité ou non à la personne concernée, c’est ainsi qu’on a au Cameroun des Serviteurs de l’Etat dont tout le Monde sait qu’ils ont d’autres nationalités mais exercent des fonctions réservées aux nationaux mais tant qu’ils ne sont pas tombés en disgrâce tout est normal
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Mr Ndedi Eyango qui a certainement conservé sa carte d’identité camerounaise s’est présenté aux élections de la SOCAM qu’il a gagnées et nul doute que s’il n’avait eu un différent personnel avec la Ministre Ama Tutu Muna on ne se serait pas souvenu qu’il était revenu au Cameroun avec un visa de court séjour sur son passeport délivré par les autorités des USA qui le considèrent comme leur citoyen exclusif tant qu’il ne met pas en danger les intérêts de son nouveau pays d’accueil, les Etats n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts.
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Mr Ndedi Eyango qui a certainement conservé sa carte d’identité camerounaise s’est présenté aux élections de la SOCAM qu’il a gagnées et nul doute que s’il n’avait eu un différent personnel avec la Ministre Ama Tutu Muna on ne se serait pas souvenu qu’il était revenu au Cameroun avec un visa de court séjour sur son passeport délivré par les autorités des USA qui le considèrent comme leur citoyen exclusif tant qu’il ne met pas en danger les intérêts de son nouveau pays d’accueil, les Etats n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts.
L’avocate franco-camerounaise Lydienne Eyoum sait bien que son cas est désespéré d’où sa volonté affichée de négocier un remboursement des sommes querellées afin d’espérer la mansuétude de la justice étant donné qu’elle a commis les actes à lui reprochés en qualité de citoyenne camerounaise dans son propre pays.
Le cas de Thierry Michel Atangana est révélateur de l’état d’esprit de cette oligarchie qui nous a été imposée depuis les ratées de notre indépendance à partir du régime d’Ahmadou Ahidjo ; ne sachant comment combattre ses opposants en exil, il invente en 1968 cette tartufferie sur la double nationalité afin de filtrer en fonction de leurs idées politiques les bons Camerounais qui auraient le droit d’exercer des fonctions sensibles tout en gardant les nationalités des pays qu’ils ont souvent acquises après une certaine durée dans les pays d’accueil où ils ont fait leurs études, ainsi certains peuvent entrer dans la fonction publique en cumulant deux nationalités à condition de se soumettre à l’imposture coloniale en se faisant son complice, le franco-camerounais Thierry Michel Atangana comme beaucoup aux affaires actuellement qui se battent pour la double nationalité n’a jamais eu de titre de séjour au Cameroun je peux l’affirmer parce que ses avocats prétendent que sa carte de séjour a été dissoute par la gendarmerie lors d’une perquisition, mais où seraient donc passées les photocopies ?
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