Philippe Vigier, président du groupe UDI à l'Assemblée : « La trahison d'Emmanuel Macron, qui a défini puis mis en œuvre la politique de matraquage fiscal et de déclin industriel de François Hollande, est désormais totale. Cette candidature, qui montre une nouvelle fois que la légitimité du président de la République est vivement contestée jusque dans son propre camp, est davantage un problème pour François Hollande qu'une solution pour les Français et les Françaises. » (communiqué)
Jack Lang, ancien ministre PS : « La trahison, est-ce le principe moral qui habite cette campagne affligeante ? Voilà une personne qui voici deux ans était encore inconnue au bataillon. Elle n'a émergé à la vie publique que par la volonté du président de la République et du Premier ministre. Qui a trahi trahira. » (communiqué)
Danielle Simonnet, coordinatrice politique du Parti de gauche : « Cet énarque, ancien rédacteur du rapport Attali sous Sarkozy, ancien de la banque Rothschild, ancien secrétaire général adjoint de l'Élysée sous Hollande, ancien ministre de l'Économie sous Valls, le plus présent en une de tous les médias depuis des mois, voudrait se faire passer pour un candidat anti-système alors qu'il en est le pur produit ! Paroles, paroles, le candidat n'aura détaillé aucune proposition concrète. » (communiqué)
Gérard Filoche, candidat à la primaire organisée par le PS : « Ni Macron ni Valls, chou vert, vert chou, candidats du système. À eux deux, en 4 ans, ils ont fait 1,3 million de chômeurs de plus, 14 points de dette présumée de plus, plus de misère, plus d'inégalités, plus de guerres, au service de la violence des riches. Macron-Valls sont co-inspirateurs et réalisateurs de l'échec tragique du quinquennat Hollande. » (communiqué)
Jean-Pierre Chevènement, ancien candidat à la présidentielle : Emmanuel Macron est « courageux » de se porter candidat, « d'autant plus qu'il n'est pas soutenu par un grand parti », ce qui est « plus difficile », « je le sais d'expérience ». Mais, a-t-il des idées nouvelles ? « À ce jour, je ne les discerne pas » et son discours d'annonce de candidature ne contenait « rien de bouleversant » (conférence de presse devant l'Association des journalistes parlementaires).
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