Si j'avais autant de moyens que Biya, je n'enverrai pas mes enfants à l'Enam
Si j'avais autant de moyens que Biya, je n'enverrai pas mes enfants
passer un concours pour devenir auxiliaires de l'administration. Ils
feraient de bonnes études en vue d'exercer dans des professions
libérales ou autres secteurs menant à l'auto emploi ou un emploi
international. Cela évite d'une part le conflit d'intérêt qui se profile
à l'horizon. Quoi qu'on dise, corruption ou pas, méritants ou pas, ces
enfants ne seront jamais jugés à leur juste valeur. Le spectre du père
planera toujours. Nous savons, d'autre part, qu'en Afrique, les ex
présidents et leurs familles restent rarement dans leur pays en cas de
perte de pouvoir.Pour orienter ses enfants vers un avenir professionnel
qui ne peut prospérer qu'au Cameroun il faut que Popol ne sache plus
quoi faire de ses enfants. Aveux d'échec peut-être?
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