Depuis l'annonce de la candidature à la présidentielle prochaine au Cameroun de Corantin Talla alias général Schwarzkopf, Leader-fondateur du Parlement des Etudiants Camerounais, président de Conscience du Cameroun, et coordonnateur du front uni de la diaspora pour l’alternance en 2018, des forces tapis dans l'ombre sous anonymat s'activent à le calomnier. On le savait déjà mais, conscient de la lourde tâche qui l'attend, il a préféré laisser le peuple le juger et de tirer des conclusions.
Aux ennemis de Corantin Talla, des personnes comme eux ont jalonné l’histoire africaine. Elles existeront toujours, mais n’auront véritablement jamais une influence sur le cours des choses et la postérité ne retiendra rien d’eux, même pas leurs noms ou leurs pseudos. Pour le moment, le président de Conscience du Cameroun fait partie de ceux qui refusent de participer au poker-menteur qui a cours dans son pays.
Qu'est ce qu'il pense de la situation de crise actuelle au Cameroun ?
Malgré la cabale vouée à l’échec engagée contre sa personne par des agents du pouvoir tapis dans l’ombre et de tout bord du spectre politique, depuis l’annonce de sa candidature pour la présidentielle de 2018, il réitère au peuple camerounais que notre lutte commune engagée pour obtenir une véritable alternance au pouvoir en 2018 doit continuer de plus belle.
Malgré les rumeurs selon lesquelles les Américains s’apprêteraient à faciliter son ascension au pouvoir en 2018, il tient à préciser ici que ce n’est pas une puissance étrangère qui viendra imposer un leader aux Camerounais, mais c’est plutôt aux Camerounais de choisir leur président et autres représentants aux cours des élections libres et transparentes.
Pour ce faire, il est impératif que le régime en place, qui a toujours manqué la volonté politique d’ouvrir le champ politique à une occurrence et une compétition saine. Il est de ceux qui pour le Cameroun, initie une large concertation ou dialogue national afin de déboucher à une profonde reforme institutionnelle et politique.
Sur ce point, il concourt avec le rapport 2014 de l'International Crisis Group, un think thank, qui recommande les mêmes solutions politiques au régime en place. Qui plus est, il propose les réformes électorales, institutionnelles, et constitutionnelles suivantes afin de faciliter une alternance pacifique au Cameroun en 2018 et aussi gagner le support des Camerounais pour la guerre contre les terroristes et/ou rebelles endogènes et exogènes de la nébuleuse ‘Boko Haram’:
Pour implémenter ces reformes ajoute t-il, un conseil de transition coiffé par un Premier ministre de transition indépendant et issu de la société civile devra être mis sur pied au cours d’un Forum National Souverain. Ce conseil de transition devra être constitué des Camerounais de l’intérieur et ceux de la Diaspora. Ce conseil de transition aura un délai d’un an pour remplir la feuille de route issue du Forum National Souverain (FNS).
Le rejet de ces propositions de sortie de crise par le régime en place équivaudrait tout simplement à une Déclaration de guerre de Paul Biya au peuple camerounais, en plus de la guerre qu’il a déjà déclaré à ‘Boko Haram’ afin de recevoir des financements occidentaux dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.
Enfin, il lance un appel au peuple camerounais et aux politiciens de tout bord d’apporter son soutien indéfectible à nos vaillants soldats qui se battent contre des ennemis non proprement identifies pour protéger nos populations au Nord et préserver l’intégrité territoriale de notre pays.
Il appelle aussi les soit-disantes élites qui se font une lutte sans merci pour la conquête du pouvoir par le biais des communiques et contre-communiques à coloration ethnique et aux relents bellicistes d’arrêter de créer les germes du chaos social au Cameroun. Le pays est déjà fragilisé par le désir d’un dictateur et de ses créatures de s’éterniser au pouvoir afin de brader nos ressources naturelles aux amis, membres de familles, et autres intérêts étrangers.
Cellule de communication de Conscience du Cameroun et du Front Uni de la Diaspora camerounais pour l’Alternance en 2018.
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