Après la grâce partielle accordée par le Président de la République àMme Jacqueline Sauvage, comment ne pas avoir une pensée particulière pour Me Lydienne Yen Eyoum, pour laquelle l'élysée devrait s'investir encore plus dans le processus de libération au Cameroun, même si celle-ci - contrairement à Mme Sauvage - ne dépend (ra) pas uniquement de la volonté de François Hollande. En effet, toutes les violences sur les personnes et singulièrement celles faîtes aux femmes sont inacceptables, parce qu'elles procèdent hélas si souvent de la même logique de domination masculine.
Lydienne Yen Eyoum n'est évidemment pas Jacqueline Sauvage (et vice-versa), mais son calvaire carcéral depuis 6 années émane du même instinct d'aliénation de la gente féminine, avec un facteur aggravant au Cameroun: le travestissement institutionnalisé et au plus haut niveau de la vérité. Monsieur Le Président, n'oubliez pas Me Lydienne Yen Eyoum!
Via Sans Détour : Joël Didier ENGO
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