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A titre de rappel, il faut savoir que la première visite officielle du chef de l’Etat à l’intérieur du pays après le 6 novembre 1982 était à Bamenda le 9 février 1983. S.E Paul BIYA est revenu à Bamenda en octobre 1984 pour le premier comice agro-pastoral de l’ère du Renouveau. Le 24 mars 1985, le chef de l’Etat est revenu à Bamenda pour la naissance du RDPC. Le 10 décembre 2010, le chef de l’Etat, chef des armées, s’est rendu à nouveau à Bamenda pour le cinquantenaire de l’armée nationale. Vous voyez donc que le chef de l’Etat a décidé de célébrer tous les grands évènements politiques à Bamenda et pourquoi ne pas parler de la célébration du cinquantenaire de la réunification à Buea. Vous convenez avec moi que ceux qui parlent de la prétendue marginalisation des anglophones sont des imposteurs en quête de notoriété. Ils seront désavoués et dénoncés. Depuis ce matin, toutes les élites du Nord-Ouest et du Sud-Ouest sont mobilisées pour barrer la voie à tous ceux qui ont un mépris pour les valeurs républicaines et tenteront de remettre en cause l’unité nationale si chèrement acquise. Et lorsqu’on dit que les enseignants francophones ne devraient plus être affectés à Bamenda ou à Buea, cela a quel sens ? Les avocats disent qu’il faut créer les tribunaux pour les juges anglophones, cela a quel sens ? Il faut être sérieux. Est-ce que les langues étrangères doivent être facteur de divisions ? C’est un jeu extrêmement dangereux, car on parle de plus en plus de la promotion du bilinguisme au Cameroun. Chaque Camerounais devrait être fier de s’exprimer en anglais et en français. C’est cela l’intégration nationale. En tout cas, le désordre ne passera pas, force restera à la loi. Le président Paul BIYA a fait du Cameroun un pays démocratique où la liberté d’opinion est respectée. Mais il ne faut pas en abuser en évoquant des thèses insoutenables. Nous devons être fiers de notre diversité culturelle. Le calme est revenu à Bamenda et nous devons tous avoir un comportement républicain et conséquent car S.E, M. Paul BIYA place l’intérêt national au-dessus de toutes les considérations partisanes.
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