
Les avocats anglophones estiment à juste titre qu’au niveau de la Cour Suprême, il faut instituer une section réservée à l’examen les recours en provenance des juridictions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. En anglais, ils appellent cela ‘’Common law bench at the suprême Court’’, où il doit avoir moins de 300 anglophones. Ce qui pose le problème de leur redéploiement.
il est temps de penser à instituer une section anglophone au niveau de l’ENAM (École nationale d’administration et de magistrature, NDLR), avec un recrutement spécifique pour les anglophones de manière à rééquilibrer les chiffres qu’il y a entre les magistrats anglophones et les magistrats francophones
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