Depuis quelques jours, j’ai perdu le goût de travailler et de rire.
J’ai découvert comment l’utilisation d’un mot peut être dangereuse et
parfois ne pas exprimer sa pensée. Dans mon texte, le mot que j’utilise
et que je n’utiliserai plus jamais quelque soit la circonstance ne
s’adresse pas à une communauté, surtout pas à la communauté anglophone.
Les syndicats ont clairement désapprouvé des actes odieux posés par des
fossoyeurs des vraies revendications anglophones.Ce sont ces mauvais récupérateurs que je condamne jusqu’à présent. C’est tous ceux qui ont voulu profiter de la pluie pour faire la pêche que je condamne. En espérant et je le dis souvent que même au niveau de l’administration, du gouvernement et des Fmo, l’État ne laissera pas échapper les auteurs des abus. Mes collègues anglophones d’aujourd’hui et ceux d’hier me connaissent et savent que je n’ai jamais montré moindre signe d’animosité ou de haine. J’ai toujours promu leur intégration et leur promotion.
Je voudrai en toute humilité vous prier d’accepter mes excuses si ce mot a causé tant de dégâts. Il a été utilisé sans aucune arrière-pensée et je l’avoue avec beaucoup de légèreté. Aucune intention de blesser ou de nuire. Je suis prêt à de nombreux sacrifices pour réparer cette imprudence. Encore toutes mes excuses. Que Dieu nous protège tous.
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