Plusieurs journaux de la place ont fait état, ce mercredi 24 septembre 2014, de la dernière trouvaille opérée dans les milieux de la cybercriminalité. On parle de ces messages très clairs laissés sur le site internet de l’Assemblée Nationale, piraté dit-on, et dont le contenu ne laisse planer aucun doute sur l’identité de leurs auteurs présumés. Des slogans qui revendiquent la légalisation de l’homosexualité…
L’empreinte Adn conduit droit à la signature des militants pour la pratique légale de l’homosexualité, ceux qui militent activement pour la reconnaissance de leurs différences sexuelles qui diffèrent des pratiques normales. Certains ont même crée des associations de défense des homosexuels, qu’ils considèrent en quelque sorte, comme des laissés-pour compte, des minorités exclues, des personnes sans défense, des sans voix, maltraitées par une loi scélérate. Pour la majorité de la société, cette pratique est synonyme de sexualité bestiale et amorale, et considérée comme une déviation sexuelle.
Des accouplements contre-nature, condamnés par la morale, la Sainte Bible, le Coran, et même, la Torah, ou les traditions. Au Cameroun, l’homosexualité est considérée comme un crime, passible de fortes amendes, et même, de lourdes peines de prison, mais des personnages comme Maître Alice Nkom, qui s’en réclame ouvertement, condamnent l’abus de pouvoir de l’autorité. L’avocate s’en prend même vertement aux autorités de l’église, qu’elle accuse de totalitarisme.
Elle dénonce par ailleurs certains de ses collègues homosexuels haut placés qui selon elle, essayent de jouer le double-jeu aux yeux du public. La liste publiée par certains journaux en 2004 de noms d’une demi-centaine d’homosexuels présumés en dit long sur le confortement de son positionnement mais plus que tout, c’est l’ampleur déclenchée par le scandale, sans précédent, qui a d’abord étonné ! On a vu de jeunes homosexuels sortir du maquis pour demander, par des moyens qui frisaient le chantage, à leurs amants hauts placés de ne plus se voiler inutilement la face, et d’oser enfin endosser leur responsabilité pour marcher à visage découvert, en vue d’assumer ouvertement, leur véritable identité sexuelle, au vu et au su de tous… Mais, bien sûr, cela n’a pas, n’a jamais été fait.
Bien sûr ! Le Cameroun, comme la plupart des pays africains, a cette particularité que même si elles sont officiellement perpétrées en plein jour, des choses taboues y sont interdites. L’homosexualité est de celles-là. Les auteurs sont connus. Des gens à première vue, au-delà de tout soupçon. Si l’on en croit ce qui se dit ici et là, plusieurs de nos hauts dirigeants, ceux de l’Assemblée Nationale notamment, n’en seraient pas exempts. La seule différence, pour le moment, réside dans le statut matrimonial officiel, et sur le fait qu’ils ont des enfants, et, parallèlement à leurs amants ou maîtresses du même sexe, des relations avec des personnes de l’autre sexe.
Ce sont des bisexuels. La déviation commence, dit-on, par des orgies et les partouzes avant de virer, on l’a par exemple vu récemment avec Samuel Eto’o et Nathalie Koah, à des contorsions encore plus compliquées, pouvant inclure plusieurs personnalités. Que des choses interdites sont perpétrées en plein jour. tous..leurs amants hauts placés de yeux du public. Sur ce point là, il faut le lui reconnaître, Alice Nkom a raison. On est même en droit de se poser la question de savoir si le soi-disant piratage du site de l’Assemblée ne serait pas au fond, l’oeuvre d’un ou de plusieurs adeptes de l’homosexualité opérant depuis l’intérieur même de l’hémicycle, en faveur d’une loi autorisant cette pratique dans notre pays. Légaliser…
Au fond, pourquoi pas ? Ce serait peut-être une bonne chose, à la fin ! On pourrait ainsi savoir vraiment qui est qui, et voir qui peut, après çà, oser regarder ses enfants bien en face, ses parents au village, et ensuite parvenir à se voir dans un miroir. Car ne l’oublions pas, même en Occident, c’est l’une des choses les plus difficiles à assumer au monde devant la société, ou la famille. L’une des choses les plus difficiles à assumer au monde devant la société, ou la famille.
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