Le coordonnateur des équipes nationales de football sont arrivés avec de l’argent dans des « sacs Mbandjock ». Voilà la Phrase qui me fait réagir aujourd’hui. Cette Phrase que j’ai lu dans un site Internet entre les lignes de l’article « Baratinées, des Lionnes lucides refusent 5 millions » (1*). Si cette article est le reflet de la vérité, Si c’est ainsi que nous avons pris l’habitude de régler des paiements car il me semble que très récemment, c’est par la même méthode de paiement que nous avions régler nos Lions Seniors. Alors, ceci est un scandale, une honte !
Comment imaginé qu’un pays comme le Cameroun, en 2014, continu d’utiliser un mode de règlement si archaïque et que cela ne choque personne ? Loin de négliger le travail abattu par les comités de normalisation et tous les organes qui gèrent le foot camerounais. Il y’a quand même matière à se poser la question si nous n’avons pas là des opportunités d’amélioration de nos processus de gestions.
Le Cameroun dispose d’un système bancaire et financier, je ne peux rien dire sur son efficacité, mais à ma connaissance, nous avons de grands organes financiers (banques, Organes de finances ...) qui existent depuis plus de 15 ans, et dont la réputation est toutes établies. Pourquoi ne réglons nous pas les nos champions par des virements: Cette méthode présente le double avantage d’être traçable (Ce qui pourrait être un plus en cas de diffèrent juridique), et contribue la performance de notre économie.
Plus les banques ont du cash, plus elles sont liquident et peuvent elles-mêmes financer des projets PME et autres opportunités. à côtés de plusieurs autres avantages que procure ce mode de règlement, ce sont là les 2 premières qui me viennent à l’esprit. Ces primes pourront de façons indirect, et même si cela ne représente qu’un grain de sable dans l’océan de notre dette national, contribuer l’économie de tout un pays.
Tout en restant dans une approche économique, je me pose la question de savoir pourquoi ces primes ne sont pas Taxées ? Et si elle le sont, à quelles taux ? Dans notre recherche des sources de financement, au lieu de continuer à contracter des dettes auprès des organes internationaux et d’autres pays, ne serait-ce pas là une façon judicieuse de renflouer les caisses de l’Etat ? Afin de financer de grand project sportifs ? Loin de retirer tout les mérites qui reviennent à nos champions et Championnes, un prélèvement à la source d’une contribution symbolique à l’effort national ne pourra que donner plus de luisance à tous les honneurs qui leurs reviennent. Vous me direz que cette argent sera détourner, à l’Epervier de faire son travail ! à l’appareil Judicaires d’agir, Il y’a sans doute des améliorations à faire dans ce domaine, mais Permettez-moi de rester sur une réflexion purement Fiscale et économique qui sont les « scope » dans lesquelles je peux proposer des solutions concrètes.
Je pense que c’est à travers de très petites possibilités d’amélioration de nos processus que nous pouvons tenter de rattraper l’émergence.
Apres la crise financière qui à frapper l’Occident en 2009, L’Afrique dans sa grande majorité et notre pays en particulier ont raté l’occasion de travailler au rééquilibre des différences économiques. Il fallait au moins essayer. Voici La Chine en 2014 qui vient de signer des accords Gazier avec la Russie (2*). Les Etats Unies qui passent d’importateurs à Exportateurs de Gaz. Tout cela les rendra de plus en plus indépendant au grand détriment de l’Europe en General qui se retrouve affaiblit par la Crise et sa politique.
Aujourd’hui, la dette de la France , Qui est notre second créancier après la Chine (3*), est tout aussi délicate que celle du Cameroun, Elle n’enregistre plus de croissance. Pendant qu’elle s’enfonce sous le poids des reformes et des débats Gauche- Droite sans fin, c’est peut-être le moment de renégocier notre dette et nos engagements. En période de crise, nous pouvons toujours renégocier avec nos créanciers, surtout quand ceux-ci ont un besoin vital. Cela leur permet de trouver un peu d’oxygène quand cela nous allège pendant quelque temps.
Il n’est pas tard de réfléchir sur tout ceci, et de créer un atmosphère au débat, à la recherche permanente des solutions et d’agir.
Par Zéphirin Jiongo
This is a short description in the author block about the author. You edit it by entering text in the "Biographical Info" field in the user admin panel.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Laissez nous un commentaire sur cet opinion.