«J'ai connu cet évêque et j'ai travaillé avec en
2000 comme maître d'Internat a Mvolye et lui recteur. Effectivement,
j'ai de lui l'image d'un homme solide, debout, équilibré, lucide et
mesuré. L'homme que j'ai côtoyé ne serait pas capable d'un tel geste.
C'est vrai, les hommes changent et l'homme est un mystère, mais je me
permets ce doute pour avoir côtoyé cet homme au quotidien durant 10
mois.
Certains détails me confortent dans mes analyses.
J'en doute également parce qu'en homme de foi, je crois en Dieu. Je crois aussi que ce beau reflet de l'image de Dieu que j'ai vu et côtoyé, et qui m'a conforté dans ma vocation n'ait pas pu, en si peu de temps, se dénaturer à ce point. Mais nous sommes des hommes. Et si c'était établi, cette thèse du suicide me ferait davantage approfondir le sens du mystère qui entoure nos vies».
Abbé Constant !
Certains détails me confortent dans mes analyses.
- Il serait parti de l'évêché à 23 heures... or monseigneur était farouchement opposé aux déplacements nocturnes.
- Pour se suicider, a-t-il besoin de parcourir 60 km? Alors qu'il semblerait qu'il avait l'autorisation du port d'arme. Il aurait suffi qu'il entre dans sa chambre pour se tirer une balle dans la tête.
- Monseigneur savait nager, paraît-il. Un bon nageur choisirait-il ce mode opératoire pour se donner la mort?
- C'est assez spectaculaire ce genre de mort.
J'en doute également parce qu'en homme de foi, je crois en Dieu. Je crois aussi que ce beau reflet de l'image de Dieu que j'ai vu et côtoyé, et qui m'a conforté dans ma vocation n'ait pas pu, en si peu de temps, se dénaturer à ce point. Mais nous sommes des hommes. Et si c'était établi, cette thèse du suicide me ferait davantage approfondir le sens du mystère qui entoure nos vies».
Abbé Constant !
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