Lutte contre le tribalisme : la panthère qui donne le maïs à picorer...vers un cessez de feu définitif! Après plusieurs semaines de ping-pong entre le Professeur Owona Nguini et le Professeur Nganang (la panthère), beaucoup d'eau ont coulé sous le pont; Le meilleur moyen de lutter contre le tribalisme à tous les niveaux, l'idéal serait qu'on se base de ce ping-pong entre ces deux illustres professeurs pour l'édition et la numérisation d'une bande dessinée et animée en langues nationales Mə̀dʉ̂mbὰ, Búlú – Ewondo – Fang avec extension de traduction en plusieurs aux langues nationales du triangle national.
Le tribalisme en Afrique en miniature tue plus que la « Mouche tsé-tsé », les autres mouches malades, les moustiques malades, les rats malades et souris malades tous réunis ; Ces bêtes-insectes malades ne sont pas elles tri-balistes Ô Afrique en miniature, berceau de nos valeureux ancêtres et nobles aïeux;
Lorsqu'elles piquent en inoculant dans le corps humain ou bestial, paludisme, diarrhée, ebola, elles ne regardent pas si le ou la citoyen/ne lambda est ewondo ou ɓàsàa ou tupuri ou mafa ou bafut ou bulu ou duala ou dimbámbáng ou fe'efe'e ou ghɔmálá' ou isu ou engwo ou mə̀dʉ̂mbὰ ou nda'nda ou ngêmba ou ngiémbɔɔn ou ngyemba ou nuasúɛ ou shüpamom ou yambetta ou yémba ; Elles n'inspectent pas le ou la citoyen/ne lambda locuteurs ou locutrices de x,y, z langues nationales, si on est inoculé du virus tribal ou pas, si on est femme ou pas, si on est du gopna ou pas, si on est du mboko/kwat ou pas, si on est d'une villa chiche -et-chique ou pas ; Elles piquent ou mordent seulement !
Elles piquent ou mordent parce que plusieurs quartiers sur le triangle national ne sont pas entretenus à cause d'une motivation tribale de vouloir faire mal à d'autres personnes or sur le triangle national, nous respirons, chaque jour que Dieu de nos ancêtres communs à tous et à toutes a créé, l'odeur des Douala Manga Bell, de Charles Atangana, de Um Nyobé, d'Ernerst Ouandie, etc... « eh Malé, mamie nyanga et tonton chaud gars » écoute ceci de ton grand-père Birago Diop - « Les morts ne sont pas morts »
« C'est le souffle des ancêtres.
Ceux qui sont morts ne sont jamais partis
Ils sont dans l'ombre qui s'éclaire
Et dans l'ombre qui s'épaissit,
Les morts ne sont pas sous la terre
Ils sont dans l'arbre qui frémit,
Ils sont dans le bois qui gémit,
Ils sont dans l'eau qui coule,
Ils sont dans l'eau qui dort,
Ils sont dans la case, ils sont dans la foule
Les morts ne sont pas morts. »
Chaque jour dans nos marchés publics, c'est une autre femme qui tombe sous le regard indifférent ou impuissant du Ministère de la promotion de la femme et de la famille sans femme et sans famille ;
Chaque jour qui naît, c'est un enfant abandonné parce que la mère morte d'une courte ou moyenne ou longue maladie due aux conditions d'insalubrité insupportable ;
Sous le regard impuissant du Ministère des affaires sociales, les jeunes enfants sont abandonnés à eux-mêmes ; sans abris, livrés à toutes sortes de violences physiques, naturelles et morales;
Chaque jour c'est une femme qui pleure l'autre femme emportée par une courte, moyenne et longue maladie due à l'insalubrité générales dans nos rues ;
Chaque jour c'est un enfant qui pleure sa mère emportée par une courte, moyenne et longue maladie due à l'insalubrité générales dans nos rues ;
Chaque jour c'est une femme qui tombe avant, pendant et après la journée du 08 mars !
Journée pompeusement fêtée dans l'hypocrisie totale, dans l'indifférence totale vis à vis de millions de femmes vulnérables!
Le droit de l'homme et de la femme n'est-il pas aussi le droit à la promotion de l'hygiène et salubrité pour tous et toutes sans soubassements d'intérêts tri-balistes !
Hein, Hein, Hein, COMMENT Ça ? « Parce que toutes les femmes savent qu'elles vivent dans des conditions de vie insalubre ! Mais préfèrent se taire »
Hein, Hein, Hein, COMMENT Ça ? « Parce que toutes les femmes savent qu'elles doivent se battre pour le pagne du 08 mars espérant qu'on leur nettoiera leurs rues sans idée tribales !, OUI, c'est l'entretien du tribalisme bien huilé par l'élite diplômée, instruite qui tue nos mamans, nos copines, nos sœurs, nos amies d'enfance ! »
Hein, Hein, Hein, elles le savent pertinemment dans ce pays où les médias ne leur donnent pas la parole parce qu'elles ne peuvent pas s'exprimer en Gros Français !
Eh oui oui, elles savent que « toutes leurs copines sont mortes à Fʉ̌'sap ou à Douala ou à Yaoundé ou ailleurs parce que la notion de cultures nationales avaient foutu sont camps »
Eh oui, oui, elles savent pertinemment que ces deux ministères chargées pour une « de la promotion de la femme et de la famille » et l'autre des « affaires sociales » sont des coquilles vidées de substances pour meubler leurs yeux ! Donc, du semblant-semblant ! Du paraître blim-blim !
Ah quand la motivation de rendre nos villes et quartiers sales proviennent des soubassements de luttes tribales entre élites éduquées – hautement diplômées qui vagabondent régulièrement entre plusieurs oiseaux volant!
Les femmes là, même celles mortes le savent et se disent à quoi à servir leur sacrifice « à financer les études, les nourrir, dormir sans dormir pour nous castrer dans les marchés sales, les rues sales », éhé au kwatt, ca se dit « même leur bureaux sales »
Que nos universités nationales privées comme publiques deviennent aussi multilingues! Que nos médias nationaux deviennent aussi multilingues! Qu'il y ait enfin cette liberté de s'exprimer en nos langues nationales dans les "chaînes de télé, de radio, dans des journaux ou sur Facebook selon" nos "choix"
Que vive les langues et cultures nationales au sein de l'appareil étatiquo – administratif afin que les ministres chargées de la promotion de la femme, de la famille, des affaires sociales bougent le cul en utilisant le canal médiatique « hyperboliquement » pour sensibiliser les personnes vulnérables même en langues nationales :
* les femmes commerçantes
* les enfants
* les coiffeuses longées le long des rues des centres commerciaux de Douala et ailleurs
Un enfant abandonné qui souffre de la tuberculose de la diarrhée aiguë ne l'est pas seul, c'est tout le quartier, par ricochet toute la ville et l'Afrique en miniature au plus large du terme qui en souffre également!
Le paludisme, Ebola, choléra etc... ne sont pas tribalistes mais la conscience sociétale des hommes et femmes élites du triangle national qui tribalise tout qui politise tout!
Comment interdire aux bonnes volontés de nettoyer leur quartier !
Camerounais et Camerounaise partout où tu sois, parle les langues nationales, "respecte l’identité, c’est-à-dire, les langues et les cultures" ; Lorsqu'une rue habitée par des personnes qui ne sont de ta tribu est mal-entretenue, c'est tout le pays qui tombe malade de courte, moyenne puis longue maladie que les hôpitaux très sophistiques « Mbeng/occident » à coût de millions ou de milliards ne pourront pas ou jamais soigner.
Ne dit-on pas que l'aiguille qui pique est sous le pied et que comme on le dit chez moi au village « si on ne frappe pas sur la sourire, elle remplit la maison »!?
L'insalubrité aux élans tribaux ne tue pas seulement les autres ethnies, les autres femmes et autres enfants devenus vulnérables, mais aussi l'intelligentsia formée et diplômée au idée tribale ! Hein ! Mouches, Moustiques, Rats et Souris réunis ne sont tri-balistes ; Ces bêtes-insectes savent comment se déplacer d'un quartier sale vers un quartier dit pompeusement propre et inversement c'est à dire de la poubelle du riche vers les rues sales et marchés publics sales! Hin und zurück ! Hin und her !
Ce ne sont pas les campagnes de moustiquaires ou de vaccin ou de distribution des médicaments qui soignent ou qui empêchent l'émergence du paludisme, de la diarrhée, d'ebola, mais la campagne de ville propre, rue propre, cours d'eau propre par tous et toutes sans soubassements tribaux !
Trop d'hommes et femmes dans les bars 24/24 à exploiter pour rendre nos rues, marchés publics, quartiers propres !
Insalubrité nationale: Mouches, Moustiques, Rats et Souris réunis ne sont pas tri-balistes
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