Je crois que chacun d'entre nous puisse usé de son droit pour répondre soit à un défi ou une attaque.
J'estime que Mathias Owona devrait mettre fin à cette gueguerre, en répondant par un silence méprisant.
Ce que Patrice Nganang nous a servi ici n'est que du carambouillage intellectuel. Pourtant mis au défi par Mathias, il a clairement montré ses limites.
Là où le bât blesse, il a cru subtilement attirer de l'empathie en faisant bon usage de sa mémoire sélective. Peut être faut-il l'aider à retrouver ses repères, car il a totalement perdu le nord.
Corentin Talla qu'il présente comme un martyr n'en est pas un. Il a été victime de sa jeunesse et de sa naïveté, au même titre que Charles Ateba Eyene.
Le parlement nait avec le support du SDF et la complicité de l'escogriffe ambassadrice américaine Frances Cook. Leur obsession est de commencer une insurrection dans le campus de Ngoa Ekelle, avec l'espoir que le reste du pays s'enlise.
Ce que le martyr de la 25eme heure, Talla et ses acolytes n'ont jamais admis, c'est qu'il ont perturbé la vie au sein du campus, violenté les étudiants qui ne voulaient pas adhérer à leur cause.
C'est ainsi que l'auto-défense (comme son nom l'indique) est né dans le but de contrecarrer les actes barbares des parlementaires. En quoi Charles Ateba Eyene est-il responsable de la suspension de la bourse "epsi"?
Les jérémiades de Talla embellissent un dossier de demande d'asile, mais n'auront jamais du crédit dans l'histoire du Cameroun. Car l'un s'est allié au superficiel et l'autre au pouvoir.
L'exacerbation de ces deux mouvements d'activistes, a vu la création de La'akam d'une part et de l'Essingan d'autre part. Pendant que le second s'est volatilisé par l'usure du temps, le premier reste bel et bien actif. De quel tribalisme parle Nganang?
Ceci suite au choc des opinions entre Patrice Nganang et Mathias Eric Owona Nguini
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