M. Nganang, parce que j’observe chez lui, depuis quelque temps, soit un trouble de comportement, soit au mieux, une facilité à propager, sans rigueur intellectuelle aucune justement, des ragots, du nauséeux, au nom d’un activisme politique soit disant tribal et trivial pour instaurer, en tant qu’écrivain, une deuxième république.
Il n’ y a pas longtemps, il s’est sauvé d’un débat à la télévision face à Mathias Owona Nguni, qu’il n’a pas cessé d’agresser sans véritable base de procès intellectuel. Il semble s’être identifié une nouvelle cible. Mila Assouté.
Après avoir indiqué sur sa page Facebook où il m’a invité lui, comme ami, que pour moi : l’intellectuel doit être humble. Mr. Nganang dans une prose, péremptoire, s’épanche au vitriol comme ci-après à mon sujet, je cite : « … l’intellectuel doit être humble et le politicien, lui, doit être fanfaron, et gonflard, peut vider les caisses de l’Etat et s’en vanter, comme Mila Assoute, mais l’intellectuel, lui, qui a gagné chacun des francs qu’il a sur la base de son intelligence, doit être « humble », « apprendre », marcher a quatre pattes devant les tueurs de la république, pour ne pas leur faire ombrage»
M. Nganang semble ignorer qu’il n’est pas exclusif à un intellectuel de gagner chacun des francs que l’on a, sur la base de son intelligence. Les jardiniers et autres agents sociaux qu’il méprise sont utiles à la société et gagne chacun à la sueur du front. Au Cameroun ceux qui ont gagné le plus d’argent en le volant sur le patrimoine collectif, ne sont personne d’autre que les intellectuels d’enfumage de son espèce Peut-être veut-il en être coopté.
Cette déclaration venant d’un «intellectuel» -qui par ailleurs se présente comme le gage de la personnification tribalo-fasciste, qui en plus, c’est une parenthèse, veut exécuter sur la place publique, femme et enfants des adversaires politiques, du fait de leur origines génétiques bétis, membres de la fratrie BIYA- ne tire son intelligibilité d’aucun fait matériel, ni défendable, ni vérifiable et ceci ni en droit ni en politique.
Pourquoi? Mila Assouté, dont il porte atteinte à l’honneur, n’a tout simplement jamais occupé une responsabilité dans aucune structure de gestion de l’Etat à aucun moment de ma vie, pour avoir à voler dans les caisses de l’Etat comme l’atteste ce déséquilibré de la plume qui ne débattrait pas en tyrannie mais visite en nocturne les proches du tyran... Mila Assouté n’a jamais obtenu ni demandé à obtenir un marché public et n’est poursuivi par aucun tribunal pour des faits de spoliation de la fortune publique. Il s’agit donc de propos diffamatoires d’un illuminati malade de sa légèreté intellectuelle
Les éructations de haine tribale et d’autres, de ce dernier, méritent d’être portées sur la place publique avant que la semence de son poison ne plonge notre jeunesse dans la confusion des offres du changement, qui les livrerait à une formation à l’apprentissage de la répétition du drame Rwandais au Cameroun. En règle générale, lorsqu’un individu se proclame intellectuel, il n’est d’ailleurs pas exclu qu’il le soit, sans aucune éducation de base, le risque de dériver tout débat en conflits personnels est grand. Ce Monsieur multiplie des attaques ad hominem sur les thématiques d’intérêt général qui jettent un doute sur sa stabilité comportementale. il accuse et insultent sans fondements, bannit au faciès, agite des chiffons rouges à-tout-va, confond l’opposition à son origine familiale et peut-être même tribale, use d’un langage ordurier du genre « wolowos et autres insanités» en d’autres termes « prostituée» pour traiter une femme légalement mariée, mère d’enfants, en dehors du terrain politique et loin du reproche du déficit démocratique fait à M. Paul BIYA qui affirme être élu par le Peuple Camerounais et qui répond tout seul de ce qu’il fait de la gestion du pouvoir.
En lieu et place de la confrontation idéelle des thèses effectivement intellectuelles qui rapporteraient à la société, thèmes qui rassembleraient, M. Nganang s’offre narcissique en mal de reconnaissance(?), en spectacle singulièrement désolant qui friserait une fièvre mentale que l’histoire a déjà produite en politique.
Il ne faut plus s’étonner qu’il fasse étalage de la superficialité de son savoir et qu’il laisse éclater en public dans la contradiction des thèses, la névrose qui différencie ses schèmes de pensée sur un sujet donné à ceux des vrais intellectuels sur le Cameroun. Ce type d’intellectuel parvenu, ignorent la limite qui sépare ce qu’il a appris de ce qui lui reste à apprendre dans un univers pluridimensionnel des savoirs où l’intellectuel véritable se positionne en quête de questionnements permanents pour rester chercheur et pas savant, et même pour son cas sachant... Par un délirium affligeant, il assène: «il n’y aurait plus d’intellectuel que lui au Cameroun et il faut s’habituer à lui...
Il n’est pas ordinaire, sous une toge et dans une auto-fascination pédante, par une autoglorification nombriliste, de livrer des carences d’ouverture au monde d’un vrai savoir qui est de l’avis partagé de vrais géomètres, humble, valorisant et rassembleur comme c’est le cas de la pathologie qui frappe cet «intellectueux».... Les toges et épitoges, nous les avons tous petit frère Nganang, c’est pourquoi, celle des gens comme vous, peut impressionner quelques étudiants néophytes que vous abuseriez par votre langage ordurier incontinent- certainement pas tous-, à qui vous professez comme savoir, sans scrupules en public, l’insulte, le tribalisme et la trivialité, parfois l’ignominie, le nauséeux, les exécutions de femmes et d’enfants, sur une base tribale, sans procès, comme valeurs sociales…
Je n’éprouve aucun complexe à cet égard, après avoir été conférencier à l’Université de la Sorbonne Paris 1, département du Pr Bled, Chercheur à EPHE Paris Panthéon, ni en tant que politicien, ni en tant que paysan, ou intellectuel, devant le parterre de votre choix, la télévision de votre choix, l’université de référence de votre préférence, en toge, pour recadrer par un cours magistral vos inepties délictueuses susceptibles de se propager dangereusement en société, à rebours poils du changement espéré par les Camerounais, pour s’ériger en contre-exemple dévastateur de la morale publique et de la promotion de la dévalorisation de l’image des produits de l’esprit que d’aucuns suivraient naïvement
Votre tropisme intellectuel, pour exprimer votre excentricités idéologiques contre les conformismes, ou pour faire distinguer votre singularité en faveur de l’émancipation d’un nouvel ordre social est vaniteux et sans assise politique ni philosophique.
Vous apparaissez comme l’incarnation névrosée des contre-vérités du savoir, des contre-valeurs sociales. Vous êtes un prophète de la haine tribale et d’une idéologie politique gauchisante-fasciste dans un environ social où le capital est une terminologie de fonctionnaires de toutes les ethnies
Voilà donc une espèce d’intellectuel-démocrate- président, nous rabêche-t-il, qui ferait de l’ombre , et au premier désaccord cognitif sur ses intifada intellectuels-liberticides, bloque ses amis Facebook, use de censure, parce qu’ il veut des suivistes, des huitres, -sur une base subjective, j’ajouterais même tribaliste-, de la parole indigeste sur le champ politique ceci au nom d’un changement- il nous apprendra au passage un terminologie nouvelle de son académie du géomètre qu’il est où n’entrerait que les géomètres: « le chassement»- de la tyrannie, à «substituement» peut-être, par un vide sidérant d’une proposition sociale qui se réclamerait d’une gauche tribalo-fasciste, et qui exécuterait extrajudiciairement, sans procès, comme dans toutes la barbaries les plus abyssales, les épouses et enfants d’ adversaire politiques, en plus des membres de sa tribu, leur seul crime d’être fils de, et/ou des habitants de la région de «leur pays organisateur», pays organisateur qu’il souhaite alors simplement reconstituer ailleurs dans un nouveau «pays organisateur» et où il se voit déjà maître des cérémonies...
Ces intellectuels-là, -si c’est cela le changement, que Dieu nous en garde-. Ceux dont l’intellect produit la fange, l’esprit avorte la haine, les divisons, les contre-valeurs sociales, Socrate, Cicéron et bien d’autres, les rangent au rang des intellectuels de la poubelle qui finissent dans la délinquance mentale.
Que M. Nganang, sache qu’il y’a des gens, au rang des quels moi, très peu intelligents pur vous certes, que vos rhétoriques et éructations infantiles indiffèrent totalement parce que vous valez ce que vous valez, que ce soit dans la sphère géographique tribale que vous revendiquez, ou sur les autres terrains de votre choix. Il vous arrive même de menacer vos contradicteurs idéologiques, si en réalité vous en défendez une de valeur, avec du: «sang pour sang», s’il y a une stratégie de conserver Paul BIYA au pouvoir jusqu’à sa mort, en dressant les tribus les unes contre les autres comme vous le faites , c’est bien la vôtre: celle de menacer les pauvres de la région de M. BIYA, qui par millions, originaires de sa tribu, eux qui ne gèrent aucun pouvoir et souffrent de la même misère qui s’est battue sur notre pays que celle que subissent les millions d’autres compatriotes Camerounais des autres régions que nous entendons libérer du joug autocratique, et que vous feriez exécuter, à «sang pour sang» sans procès, sur la base de leur appartenance tribale de ce qu’ils sont nés Bétis, ou parce qu’ils auraient des parents membres du RDPC parce que vous seriez bamiléké discriminé… Ce type de changement là, je vous le dis droit dans le regard, n’aura jamais lieu dans mon pays, de notre vivant. Vous, M; Nganang, vous nous aurez tous tués en effet d’abord, pour qu’il ait lieu.
Le changement au Cameroun, tenez le pour dit, se fera ou ne se fera pas, dans le rassemblement et la diversité nationales, expurgé des germes divisionnistes et d’entrepreneurs de la haine tribale, des trublions et illuminatis de la race élue, comme vous, si vous persistez parés de votre vendetta sadomasochiste de massacrer ou exécuter qui que ce soit sur une base tribale.
Et sur ce, je crois que nous nous serons bien compris.
Choisissez donc d’autres terrains favoris de vos jeux aux allumettes de vos farandoles éruditions, si cela vous chante. Vous ne parlez heureusement au nom d’aucun bamiléké. Et je suis mieux placé que vous pour l’affirmer.
Pierre Mila Assouté
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