A lire les posts qui précédent, je conclus rapidement que: c’est très difficile de manipuler les Kamerounais. Et je suis fier d’appartenir à ce peuple intelligent et combatif. La crise ivoirienne a confirmé cet état esprit.
En effet, les Kamerounais se sont engagés à dénoncer la mascarade française sur crise ivoirienne au point où le régime du Président Ouattara a envoyé plusieurs hauts émissaires au Cameroun pour «acheter » les Kamers. Le livre de Charles Onana - Côte d'Ivoire : le coup d'Etat, avec la préface du Président Thabo Mbeki, est une bombe, contenant des documents confidentiels, qui met à nu les manipulations de la France et de l’ONU. Le même auteur a fait trembler le Président Kagamé sur d’autres livres sur le génocide au Rwandais. Toujours en Géostratégie, regardez aussi le travail de Jean Pougala qui est sollicité par plusieurs gouvernements Africains. Voyez comment Dieudonné fait trembler les sionistes au-delà de la France.
Bref, l’esprit Kamerounais est reconnu sur le continent, surtout en Afrique australe: ce sont eux qui conseillaient les mouvements, de luttes, contre les colons dans les années 1960-1970. Mandela avait dit dans un Interview avec le téméraire Puis Njawe que: la lutte des Kamerounais pour leur indépendance fut une leçon dans leur propre lutte.
Moufdè, pour manipuler les Kamers, il faut profondément réfléchir jusqu'à la limite, de rupture, des nerfs du cerveau. Les Français, qui préparent leur rébellion contre le triangle national via l’opération Bakhane, ayant pour base Ndjamena, sont avisés: le Kameroun, à travers son peuple intelligent et combattif, n’est pas la Cote d’Ivoire, la Libye, l’Irak, la Syrie, etc.
L’opération Bakhane couvre cinq pays de la bande sahélo-saharienne (Mauritanie, Mali, Burkina-Faso, Niger et Tchad) avec 3000 soldats français, 20 hélicoptères, 200 véhicules blindés, 10 avions de transport tactique et stratégique, 6 avions de chasse et 3 drones. Pour moi, l’opération Bakhane, est aussi une couverture pour créer une rébellion étrangère (Sekela, Tchadiens, etc.) baptisée « rébellion Kamerounaise ».
Le Kameroun demeure un grand pays, ce malgré sa régression économique et la non promotion de ses valeurs culturelles.
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