Visitez le blog hommage à Charles Ateba Eyéné qui est mort subitement ce 21 fevrier 2014, il avait juste 42 ans !
Bonjour ou bonsoir selon, Je m’appelle Charles Ateba Eyene PHD en communication politique, enseignant/chercheur ESSTIC/IRIC, écrivain entre autres. Je réponds au numéro de téléphone 99 84 77 88 et habite la petite ville de Mfou à 30 kms de Yaoundé au Cameroun.
Je regrette que je ne sois pas très présent sur la toile mais c’est un choix car à l’analyse, je constate que les gens, en grande majorité, vont sur le net pour s’amuser, se défouler ou s’évader……Etc., or moi j’ai inscrit ma vie depuis l’enfance sur le sérieux et le travail utile. Je ne sais d’ailleurs pas m’amuser et c’est l’un de mes défauts. Mes parents, mes enfants, mes amis, mes enseignants, mes voisins le savent. Je n’aime pas répondre aux grimaces et aux farces mais je sais très bien le faire quand c’est nécessaire, comme c’est le cas avec la publication mytho manique de quelqu’un qui se présente comme un compatriote vivant à Boston aux Etats Unis (sans nous dire ce qu’il y fait) et qui s’appellerait Léon Tuam. Il dit qu’il veut restituer certaines vérités à l’histoire sur ma face cachée, sur les milices et la torture qui était soit-disant mes activités à l’université.
Je voudrais apporter trois analyses à ce comportement volage.
1/. Mr. Léon Tuam veut exister en racontant des balivernes sur ma personne.
2/. Il voulait faire savoir à ses relations perdues qu’il se retrouve du côté de Boston
3/. Il voudrait aussi bien rappeler qu’il est un héros des évènements de l’université dans les années 90 Au passage, je dirais un mot sur la structuration même de son texte infâme et sur les incohérences qui se dégagent de sa piètre inspiration. Ce sera au lecteur d’en juger. Sur le premier élément concernant son existence par procuration, la vérité est que j’ai obtenu mon bac à la session de Juin 1991 au Lycée classique de Bertoua, à l’est du pays.
Je me demande comment venant d’un Lycée de brousse, dans une université qui existe depuis les années 60, qui avait des milliers d’étudiants dans les classes supérieures et même en doctorat, je pouvais conduire une milice ?? J’ajoute que mon meilleur ami de l’époque s’appelait René Chendjou. Il vit à Yaounde et reste mon ami.
J’avais également un autre ami anglophone qui est aujourd’hui Commissaire de police. Je rappelle aussi que j’étais étudiant en lettres modernes Françaises et que là-bas, on passait le temps à lire les œuvres et réciter les règles de grammaire française. J’étais délégué d’étudiant c.a.d une identité remarquable. Je me demande comment 23 ans plus tard, seul un camarade se souvient de moi comme tortionnaire ?? Quel âge avais-je à l’époque ? Je pèse 73 kos et mesure 1,66 Mrs. Comment un individu de ce calibre peut-il avoir de’’ forte main’’ ???? Sur le 2eme point, je confirme que mon cher Léon qui n’a pas fait signe de vie depuis a trouvé un formidable moyen de se signaler à ses relations.
J’ai l’intime conviction que mon ami parle de quelqu’un d’autre en pensant à moi. Peut-être que je lui manque.
Sur le 3eme point, il semble que mon compatriote digère mal le fait qu’après avoir été une pièce maitresse de la ‘’rébellion’’ à l’université dans les années 90 qu’il soit oublié en exil aux USA. Ca peut aussi être un fond de commerce juteux pour justifier sa présence au pays d’Obama. Maintenant sur la structuration de son texte, un des paradoxes est qu’on ne peut pas être ‘’travailleur, studieux, dévoué, sérieux’’, comme il le dit et avoir le temps de mener des milices et torturer ses camarades. Cela me semble contradictoire et incohérent. Voilà pourquoi j’estime que ce n’est pas de mon ATEBA EYENE que l’on parle car mes convictions, mon éducation et mon destin métaphysique (étant du signe capricorne) ne me prédispose pas à être un dictateur, un tortionnaire, encore moins à faire du mal aux autres. Etc.…. L’occasion me permet de vous dévoiler le 2eme prénom qui accompagne mon nom ‘’Sylvestre’’ et tout mon nom devient donc ATEBA EYENE CHARLES SYLVESTRE. C’est ce qui figure dans mon acte de naissance.
Alors cher Léon, de grâce, j’exige de toi des excuses publiques parce que tu as tout faux sur ma personne. Tout c e que je dis peut-être vérifié. Je ne voudrais pas créer un débat sur ce sujet. C’est toute ma part de vérité en rappelant que j’ai deux valeurs essentielles dans ma vie Dieu et le travail. Je méprise les loges, les gens des loges, les sectes et leurs adeptes. Qui me cherche, me trouve. On ne restitue pas l’histoire avec un cerveau artificiel en usant des mythes et en falsifiant les faits
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