Si bien qu’il crée finalement son propre parti l’Add qui malheureusement ne parvient pas à décoller comme son leader d’ailleurs dont le meilleur score dans une présidentielle est de 3,2%. Toute honte bue, il s’en vante quand même alors que l’opposition ou ce qu’il en reste avait boycotté ledit scrutin. On l’accuse d’ailleurs là-bas d’avoir servi de faire-valoir au Rdpc qui manquait à l’occasion de sparing partners. En récompense à ces services rendus, outre l’argent qu’il a reçu pour battre campagne alors qu’il n’a pas quitté Essos son quartier à Yaoundé, on lui a offert également un poste à la Conac.
Il gagne évidemment un salaire faramineux comme ses collègues à ne rien faire, à manger les biscuits et quand il descend sur le terrain, c’est pour pondre de faux rapports comme celui qui a emporté Bernard Messengué Avom. Mais ce qui est curieux, c’est qu’il ne cesse pour autant pas de s’agiter. Tout en mangeant au creux de la main du Nom Ngui’i il ne manque aucune occasion de s’attaquer à son bienfaiteur, comme on vient de l’observer dans le dossier du journal Le Monde. Pourtant il est aux petits soins. En dehors de ses évacuations sanitaires à l’étranger, la progéniture de l’ancien ministre est placée dans les administrations juteuses et les entreprises publiques. Alors au fait, de qui se moque-t-il ? Heureusement qu’il reconnait que Paul BIYA l’a ressucité.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Laissez nous un commentaire sur cet opinion.